La devise de cette nouvelle génération née après 1990 est « nous voulons profiter, l’argent est fait pour être dépensé ».
Avec un véritable engouement pour le marché du luxe, des loisirs et des voyages.
Chaque année dans les grands groupes de nouvelles technologies, c’est entre 2 et 4% du capital de la société qui est donné aux salariés.
Comment cette politique de rémunération impacte-t-elle les actionnaires ?
Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft ont atteint une position dominante.
Faut-il réguler leurs activités, voire les démanteler ?
Quels en seraient les avantages ?
Les classes d’actifs obligataires n’offrent que de faibles perspectives de rentabilité.
Quelle autre classe d’actifs peut convenir pour des investisseurs qui privilégient la sécurité à la rentabilité ?
« Ce qui est important à un certain niveau pour les dirigeants, c’est de pouvoir échanger des expériences et des cas pratiques, vécus par les entrepreneurs, par les dirigeants, sans tabou. » Nadia Nardonnet