Les indices terminent le 3ème trimestre 2018 à des niveaux proches de ceux de fin juin. On constate néanmoins un écart de performance significatif entre les États-Unis et l’Europe.
Le mois d’août a été marqué par l’effondrement des devises émergentes, particulièrement la livre turque, et la poursuite de la baisse des marchés émergents. Le marché européen est resté assez incertain.
En mai, la crise politique italienne a relégué au second plan les autres évènements macroéconomiques et géopolitiques. Les victimes du populisme continuent de se multiplier des deux côtés de l’Atlantique, en passant par certains pays en voie de développement. L’Italie est le dernier pays majeur à intégrer cette liste.
En avril, le FMI a révisé en hausse ses prévisions de croissance mondiale, à 3,4%, niveau le plus élevé depuis 2010. Ce cadre positif masque cependant une inquiétude croissante des marchés financiers concernant les conséquences des décisions de Donald Trump sur l’activité mondiale.
Après trois très bonnes premières semaines en janvier, les marchés se sont rapidement retournés et enregistrent une baisse en février. Les craintes se sont cristallisées autour de la remontée des taux d’intérêt.
En janvier, les indicateurs économiques ont continué de dévoiler des chiffres positifs qui permettent de rester confiant sur la tendance actuelle haussière des marchés